Ce jeudi après-midi, au détour d’un petit coup de blues, notre homme a pris la plume (le clavier) pour exprimer via Facebook son ressenti et son amour pour le rugby.

"J’aime le sport bien sûr, ce combat collectif vers la terre promise, ce don de soi pour le groupe, ce dépassement personnel, ces émotions intenses dans la victoire comme dans la défaite. J’aime son folklore ensuite, ses célèbres troisièmes mi-temps, véritables moments de « communion » entre coéquipiers, adversaires, arbitres, et supporters", écrit Fabrice.

"J’aime le rugby , c’est ma drogue. Une drogue saine, mais une drogue quand même. Et aujourd’hui je suis en manque de ma drogue. Je sais qu’on n’a pas le choix, que la plupart des autres sports sont à l’arrêt aussi, que c’est dans l’intérêt public, mais bon Dieu qu’est ce que ça me manque. Les joueurs me manquent, les coachs, les adversaires, les arbitres, les bénévoles, les supporters me manquent. Et même ceux avec qui je me frite régulièrement voire très souvent me manquent aussi, car ce qui fait la richesse de notre sport, c’est aussi sa diversité, que ce soit sociale, culturelle ou d’opinions".

Lisez ci-dessous l’intégralité du message, qui parle à beaucoup d’entre nous.

J’aime le rugby,
J’aime le sport bien sûr, ce combat collectif vers la terre promise, ce don de soi pour le groupe, ce...

Publiée par Fabrice Cro Grünenwald sur Jeudi 3 décembre 2020