Samedi, 30 filles issues d’autres sports se sont essayées pour la première fois au rugby à 7. Celles-ci provenaient du football, du tennis, du judo, du karaté, de l’athlétisme et du hockey.

Grâce à la collaboration de l’Université de Gand, des données personnelles ont été prises (taille, poids, taux de graisse, sprints,...). Une fois ces tests terminés, Stijn Van hauwermeiren ont tâté du ballon. Une seule des 30 filles a renoncé en cours de journée.

Et le lendemain, ce sont cette fois 31 joueuses de différents clubs belges et différents coin du pays (Lustin, Mons, Tournai, Bruxelles...) qui ont été soumises aux mêmes tests, avant de disputer un petit tournoi à 7.

Toutes les données seront à présent analysées par l’Université de Gand. Le staff de l’équipe nationale à 7 se chargera lui d’étudier les actions au cours des deux journées. Chaque fille recevra ainsi ses propres résultats et pourra être invitée aux entraînements futurs.

Ce week-end de détection est en tout cas une réussite et sera reproduit à l’avenir puisque le staff a dû refuser des filles.

Avec Chris Verstockt

(Photos C.Verstockt)