"Le programme antidopage de la Coupe du monde 2007 était le plus important mis en place pour un tournoi de rugby et il a été un vrai succès", a déclaré le responsable antidopage de l’IRB Tim Ricketts.
Deux joueurs de chaque équipe avaient subi des contrôles urinaires classiques lors des 44 rencontres disputées avant les demi-finales, soient 176 tests antidopage qui s’étaient déjà révélés négatifs.
Comme elle l’avait annoncé, mais seulement après un mois de compétition, l’IRB avait également fait procéder, en dehors des matchs, à des contrôles sanguins inopinés sur cinq joueurs de chacun des demi-finalistes.
Le test de l’hormone de croissance (hGH) n’étant, par ailleurs, pas encore au point, des échantillons sanguins sont stockés dans le laboratoire de Paris (Châtenay-Malabry) jusqu’à ce que le test soit disponible, "probablement dans l’année à venir selon l’Agence mondiale antidopage", a aussi souligné M. Ricketts.
Au total, l’IRB aura mené plus de 1.300 contrôles antidopage en 2007 lors des matches internationaux.