C’est ce que révèle l’Equipe dans son édition de mardi. Le produit incriminé, la métandiénone, est une substance peu retrouvée lors des contrôles en France, mais dont l’utilisation est théoriquement sanctionnée, comme la testostérone ou la nandrolone, de deux ans de suspension.

Les autres cas positifs concernent le cannabis (2), le finastéride (un produit masquant) et un corticoïde. L’usage des deux derniers pourrait éventuellement être couvert par une autorisation d’usage thérapeutique (AUT) et n’être donc pas sanctionné.

La série de contrôles ciblés sur les rencontres de Pro D2 a eu lieu lors de la 12e journée des 19 et 20 janvier et a concerné 90 joueurs, soit environ six de chaque équipes, précise le quotidien sportif.