L’enquête sera conduite par Jeff Blackett, en charge des questions disciplinaires, parallèlement à l’éventuelle investigation de la police néo-zélandaise concernant des accusations d’agression sexuelle visant quatre joueurs dont les noms n’ont pas été révélés.
"Le comité directeur de la Fédération s’inquiète des atteintes de la réputation de ce sport qui peuvent découler des allégations concernant le comportement de 4 des 32 membres de la sélection après le premier test-match à Auckland", indique la Fédération dans un communiqué pour justifier cette enquête.
La Fédération relève toutefois "qu’il n’y a pas encore de plainte officiellement déposée auprès de la police d’Auckland, que les joueurs nient toute implication et qu’ils ont l’entier soutien des joueurs et de l’encadrement de la sélection. A l’ère de la célébrité, les joueurs anglais doivent toujours être conscients de leur position et des dangers qui les guettent", a encore averti la Fédération.
Après la défaite le 14 juin à Auckland (37-20), plusieurs joueurs auraient fini la soirée de samedi à dimanche à boire dans une boîte de nuit avant de retourner à l’hôtel de la sélection accompagnés de filles.
